julia Cima
Julia Cima
débute sa carrière d’interprète en 1995 auprès d’Odile Duboc pour "Trois boléros", puis de Boris Charmatz durant onze ans : Aatt enen tionon, Herses (une lente introduction),
Con Forts Fleuve, héâtre-élévision, Régi et Quintet cercle. Au sein de l’Association Edna, dirigée par Boris Charmatz, Julia Cima participe à une série d’évènements performatifs :
Confrontations, Education, Statuts…
En parallèle de cette longue collaboration, Julia Cima travaille avec Myriam Gourfink (Uberengelheit), Alain Michard, (Virvoucher), Benoît Lachambre (Tracer), Elisabeth Schwartz (Les plis du temps), Laure Bonicel (Le bleu est à la mode cette année et Panoplie) et Mathilde Monnier (Pavlova 3’23) Elle anime également une série d’ateliers pour danseurs amateurs durant deux ans. En 2005, elle crée Visitations, programme de solos découverts dans les archives de la Cinémathèque de la Danse à Paris, qu’elle choisit et interprète. Elle tourne ce spectacle en France et à l’étranger jusqu’en 2008.
L’auteur et metteur-en-scène Gildas Milin l’engage en 2008 comme comédienne pour sa pièce Machine sans cible. Dans la continuité de ce travail, elle crée avec Denis Lavant Brut de lettres, pour le Sujet à Vif, dans le cadre du Festival d’Avignon. Guy Walter, directeur des Subsistances à Lyon, lui commande pour le festival ça valse ! une courte pièce sur des valses viennoises célèbres. Cette proposition, appelée Je suis enchantée, en duo avec le comédien Marc Arnaud et la participation de l’auteur Olivia Rosenthal, mêle un travail de texte et de corps. Elle crée ensuite Danse Hors-Cadre à Bali en 2009 (programme de solos tout-terrain qui fait suite à Visitations) et POEM en 2010 à Séoul (commande du festival MODAFE pour un duo avec un danseur coréen, sur un poème de Raoul Hausmann).
Elle dirige depuis 2010 des ateliers sur la pratique du mouvement à l’attention des élèves de l’école du Théâtre National de Bretagne, dirigée par Stanislas Nordey.
Julia Cima sera artiste associée au Triangle, Cité de la danse, à Rennes à partir de septembre 2012 ; ainsi qu’artiste soutenue et accompagnée pour un programme appelé « Parcours d’artistes » qui mutualise plusieurs villes du Finistère Nord, Bretagne, sur la saison 2012/2013. Sa prochaine création RINGS, sera créée dans le cadre de « Mettre en scène », en novembre 2012 à Rennes.
JULIA CIMA, jardin Musée Carnavalet, sept 2010, image d' Eduardo Serafin.
Julia Cima est artiste associée au "Résodanse" qui s'est créé en 2012 : voir son projet.
Marie Laure Caradec
Marie-Laure Caradec
a commencé la danse dans les ateliers d'improvisation et de composition dirigés par Maribé Demaille en Bretagne. Elle poursuit sa formation au CDC de Toulouse puis à l'Académie Isola Danza à Venise.
Elle travaille auprès de différents chorégraphes (Herwann Asseh, Gaël Sesboué, Dominique Brun, Aurélien Richard, Olivier Dubois...) et crée un premier solo en 2012. Cette même année, elle obtient le DE en danse contemporaine.
Cécile Borne
Cécile Borne
Artiste
Née en 1961 à Rennes, vit à Langonnet
Après des études d’arts plastiques, Cécile Borne s’initie aux différents courants de la danse contemporaine à Londres et à Paris. Suivent 15 années de tournées internationales avec des compagnies chorégraphiques. Depuis 2000, à Langonnet (Bretagne) où elle a créé la Cie Aziliz Dans, elle associe danse contemporaine, arts plastiques, musique, vidéo, danse bretonne, masques, et organise des événements autour de la danse et des arts plastiques. Ayant gardé de son enfance bretonne en bord de mer un goût pour la chasse aux trésors, elle développe un travail de mémoire et de création autour des tissus échoués, questionne le corps, la trace, l'image. Depuis 2010, elle travaille avec T. Salvert à une série de portraits ciné-chorégraphiques : Les mémoires vives.
Participation : Résidences A Domicile 2007
Ateliers des marées
Les habitants ont participé avec l’artiste à un collectage de
« laisses de mer » pour la réalisation d’installations sur le
site des Ateliers, nommés pour l’occasion « ateliers des marées
». Cécile Borne a également proposé au groupe Avel
Dro (danse traditionnelle) une relecture de la danse locale
« round pagan » à travers sa déconstruction analytique et
sa présentation objective mettant en écho description, texte
et gestuelle. Sa prestation « Azilis danse » a permis au
public de découvrir son univers qui intègre des éléments du
répertoire traditionnel et une approche contemporaine de la
danse.—
Marianne Baillot
Bio Marianne Baillot
Marianne Baillot est née en Bretagne en 80. Jeune, elle pratique la gymnastique rythmique et sportive à haut niveau. Diplômée de science-politique à Grenoble en 2002, elle part en Autriche pour parfaire sa formation en danse ( SEAD, Salzburg puis au conservatoire Anton Bruckner de Linz). En 2005 elle entre au centre national de la danse contemporaine d'Angers au sein du cursus "essais" pour jeunes auteurs ( direction Emmanuelle Huynh). Pendant ces années de formation, elle travaille avec Dana Yalahomi, Rebecca Murgi, Pep Guarrigues, Danya Hammoud, Deborah Hay. Elle signe ses premiers spectacles en 2006 aux côtés de Jonathan Schatz :Today, Will meet in paradise, stand by me mad heaven, I live in a cake
Dans le cadre du collectif international pour jeunes artistes "Sweet and Tender Collaboration" elle initie le projet Aime, aime, aime avec Mia Habib et Min koung Lee présenté au Manège de Reims, à Chalon sur Saône, au Performing Art Forum (PAF), à Porto (Maus Habitos, Festival Fabrica). En 2008, elle travaille avec Anne Juren, Alix Eynaudi et Agata Maszkiewicz pour la pièce Komposition. Elle est commissionnée par la compagnie Portugaise Intasvel pour faire une pièce pour quatre danseurs en 2008 Stonewashed présentée à la Fondation Serralves à Porto. En 2009, elle est boursière de la Fondation Royaumont pour participer au programme "Transforme". Dans ce cadre, elle crée la pièce Razzle Dazzle avec Séverine Rième. En 2010, elle présente measure it in inches, discours de remerciements. En 2012, elle crée Yeeepeee!!! mini Opéra Comique et Chorégraphique avec la chanteuse lyrique Charlotte Plasse. Elle prépare un nouveau projet sur les rituels de transformation et se produira prochainement aux côtés de Jérôme Marin et Daniel Larrieu pour l'âme au diable.
Proposition pour A domicile
" Jusqu'à ce que le paysage se referme sur nous "
Marianne Baillot et Suzete Menezes se sont rencontrées au Brésil en mars dernier dans le cadre d'un atelier de découverte du Candomblé mené par Aderbal Ashogun à Cascate, site exceptionnel forestier et de cascades au sud de Rio de Janeiro. Mélange subtil de Catholicisme, de rites indigènes et de croyances Africaines, le Candomblé consiste en un culte des orixas, (prononcez oricha) divinités qui sont associées à un élément naturel (eau, forêt, feu, éclair, etc...) et qui portent un rythme (percussion), une histoire (litugie), une couleur (costume), et un archétype de personnalité (affect).
A partir de la transmission de certains aspects de cette danse mais aussi d'autres danses comme l'Afro-Jazz, la méthode Feldenkrais et l'approche contemporaine, nous proposons aux participants de Guissény de partager une nouvelle expérience de ronde.Nous ferons entrer beaucoup de mouvements et rythmes dans la ronde et tous ceux propres aux personnes en présence
Et si des rapprochements entre l'Animisme Celtique et Africain se révélaient à nous comme par magie, sans avoir à y penser.
Nous danserons en rond, jusqu'à ce que le paysage se referme sur nous.
Site : http://mariannebaillot.fr/
Sur Facebook: https://www.facebook.com/marianne.baillot
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